En ce moment, un vent d'exotisme souffle sur la maison. Evidemment il a fallu que je fasse mon deuil du kiki, vu que comme d'hab', se soustraire l'espace de quelques heures au joug des exercices de physique ne me semble envisageable qu'une fois ma prochaine réincarnation venue (allez, j'aurais tellement travaillé dans celle-ci que le karma me fera bien cadeau d'une existence plus pépère la prochaine fois). Puis y a pas de Doudou pour aller m'acheter un laminoir à moi, contrairement à d'autres ;) ! Alors, comme le kiki ce sera une fois de plus pour la prochaine fois comme toujours à chaque fois (arg), j'ai tout de même eu un chouette lot de consolation quand ma grand-mère (fabuleux Ersatz de Doudou) m'a ramené un magnifique wok tout neuf de ses pérégrinations blokkeriennes. Ok, Blokker c'est peut-être pas la top qualité mais qui suis-je pour aller faire la difficile ? Et surtout avec une Mamie si attentionnée :) D'ailleurs, quelle joie de pouvoir enfin accéder au monde des plats au wok ! Que de possibilités !

Exotisme, donc. Pour entamer la série de recettes made in Asia qui va suivre, je vous propose d'abord ces petits crêpes thaïlandaises au maïs. A vrai dire, je ne suis pas tout à fait sûre de leur origine mais vu qu'elles étaient conseillées avec un Tom yam gai et qu'à priori le Tom yam gai, c'est thaïlandais, bah on va dire que hein.


...Note ultérieure : Prise de remords. Je viens de voir une émission sur les ouvriers qui travaillent pour des sociétés immobilières dubaïotes. A 5$ la journée et dans des conditions de travail plus que misérables. Comme quoi je ferais bien de retourner bien sagement à mes petits exercices de physique sans chougner... Promis juré, cette fois j'arrête de me plaindre.


Petites thaïlandaises crêpes au maïs

(2-4 personnes)


Mélangez 75 g de farine à levure incorporée, 1 dl de lait de coco, 1/4 dl d'eau et une pincée de sel. Incorporez 125 g de maïs égoutté réduit en une purée grossière ( passé un court instant au mixer) et 3 cuillères à soupe de coriandre finement hachée. Dans une poêle anti-adhésive avec une càs d'huile, déposez des petits tas de pâte. Laissez dorer et brunir des deux côtés. Donne 8 petites crêpes.


Quelques jours plutôt, ma mère et ma demi-soeur :

"Dis, Astrid, je me demandais si on ne pourrait pas organiser un petit goûter chez moi un week-end, pour une fois qu'on aurait l'occasion de réunir une bonne partie de la famille..."

"Quelle bonne idée ! Audrey va se charger des gâteaux !"

...

...

...

Comment ça, Audrey va se charger des gâteaux? Ah ouais. Comme c'est gentil de me prévenir. C'est vrai que dans l'oisiveté à laquelle se résume mon existence actuelle (*tousse, tousse*), nourrir une petite quinzaine de personnes en gâteaux, je n'attendais que ça. Ah ma petite maman, qu'est-ce que je ferrais sans toi ! Sans dec'.

Des gâteaux, donc. Quelque chose qui aille vite. Qui plaise à tout le monde et surtout à une dizaine d'enfants (malheur!)... C'est vrai, je ne me suis pas cassé la tête, et mon choix s'est tout naturellement porté sur les très traditionnels gâteaux au chocolat et tartes aux pommes. Autant miser sur des valeurs sûres. Pour le gâteau au chocolat, ce fût celui de Suzie (Pierre Hermé), que j'avais envie de faire depuis bien longtemps et que ne m'a bien sûr pas déçue. Quant à la tarte aux pommes, j'ai dégainé une de mes recettes fétiches ! Tout à fait le genre de gâteau que j'avais l'habitude d'amener à des fêtes à l'école. Tout le monde aime et le rendement est ENORME. Le moule ? La plaque du four ;)

Vous vous souvenez de mes tranches aux cerises et à la noix de coco? Eh bien la recette provient du même livre. Toutes les recettes y figurant sont prévues pour familles nombreuses et se font sur une grande plaque. Vachement pratique. Puis c'est un livre allemand aussi. Et la pâtisserie allemande, on fait plus fin, c'est sûr, mais au moins ça a l'avantage de réunir petits et grands à l'unanimité !



Tranches rapides aux pommes et au babeurre

Pour la pâte

  • 250 g de beurre ou de margarine
  • 250 g de cassonade (blonde ou brune)
  • 2 oeufs (M)
  • 350 g de farine
  • 2 càc rases de levure chimique
  • 125 ml de babeurre (lait ribot)
Pour la garniture
  • 1 kg de pommes sûres
  • 60 g de beurre
  • 50 g de cassonade
  1. Pour la pâte, battez le beurre au fouet électrique jusqu'à ce qu'il soit crémeux. Ajoutez le sucre petit à petit. Fouettez jusqu'à ce que le mélange soit homogène. Incorporez les oeufs un à un (en fouettant environ 1/2 min par oeuf). Mélangez la farine avec la levure chimique, tamisez le tout et incorporez au mélange précédant en deux portions, alternativement avec le babeurre. Mélangez rapidement et versez la pâte sur la plaque à pâtisserie (plaque du four, 30x40 cm) graissée. Lissez la surface.
  2. Pour la garniture, pelez les pommes, coupez-les en quatre et enlevez le coeur. Découpez les quartiers en tranches et placez celles-ci sur la pâte en les faisant se chevaucher. Répartissez dessus le beurre en flocons et saupoudrez de sucre. Enfournez dans le four préchauffé à 180°C, environ 35 minutes.
  3. Placez la plaque sur une grille et laissez refroidir le gâteau.


Oki, j'avoue que la photo est moche comme tout et que tout psychologue risquerait de s'inquiéter sérieusement pour ma santé mentale si je vous disais à quoi elle me fait penser... Ce gros oeil jaune, ces intestins noirs grouillants sous la lumière électrique du néon, et ce fond vert de table de dissection... Vous ne pouvez pas savoir à quel point j'ai l'impression de revoir les entrailles béantes de la pauvre souris que nous avons tous, ô blasphémateurs, impudents et sacrilèges violateurs de la vie animale, sauvagement charcuté lors du dernier TP de bio. Je le savais, il fallait bien qu'elle revienne me hanter. Plus jamais désormais je ne pourrais voir de jaune d'oeuf sans qu'apparaisse sous mes yeux l'image de sa vessie hypertrophiée (1.5cm de diamètre, je peux vous dire que ça urgeait sérieusement) !
Oui, c'est de mauvais goût et, oui encore, je ne fais pas de la bonne pub pour mes oeufs cocotte. Mais c'est mon blog, et là, je me déverse l'âme. Pardonne-moi, souris ! Ta mort fut sanglante et cruelle. Je me repends. Mais sache que tes membres épinglés aux quatre coins, ta chair dépiautée, ton crâné écervelé, ton sexe amputé et ta dignité envolée le furent pour le bien de l'humanité. Car si vous êtes allées engrosser le paradis des souris, toi et tes amies, petites âmes s'envolant des centaines de carcasses qui peupleront les poubelles universitaires après être passées sous le scalpel des 1ères bac (dont 1/5 parviendront au bout de l'année), bah c'était... bah c'était... bah c'était pour quoi déjà? Oups.


Voilà, c'est bon, on peut passer aux oeufs cocotte. Alors wi, ils sont pas beaux, ça n'empêche qu'il y a un sacré potentiel là-derrière ! Peu d'ingrédients, peu de temps et, pourtant, avec des tranches de pain grillé, miam ! J'ai déniché la recette dans le dernier Saveurs, remplaçant simplement les girolles par un mélange de trompettes de la mort, girolles et pieds de mouton, histoire de profiter des champignons automnaux. Pour un petit souper de saison, ils sont parfaits !


Oeufs cocotte aux girolles
Pour 4 personnes

  • 8 oeufs
  • 300 g de girolles
  • 2 échalottes
  • 2 c. à s. d'huile de noisette
  • 20 cl de crème liquide
  • sel et poivre
  1. Préchauffez le four à 180°C, avec un grand plat rempli à moitié d'eau bouillante.
  2. Nettoyez les girolles : coupez les pied terreux et essuyez-les délicatement avec un chiffon, sans les laver. Coupez-les en morceaux.
  3. Emincez finement les échalotes.
  4. Versez l'huile de noisette dans une poêle. Faites fondre les échalotes à feu doux. Augmentez le feu, jetez les girolles dans la poêle, faites-les sauter 4 à 5 min sur feu vif.
  5. Réduisez la crème d'un quart dans une casserole, ajoutez les girolles dedans, assaisonnez. Répartissez la moitié des girolles à la crème au fond de huit ramequins, cassez un oeuf dans chaque, versez le reste de girolles à la crème sur les oeufs.
  6. Mettez les ramequins dans le plat du four rempli d'eau, faites cuire 8 à 10 min. Servez aussitôt.
  7. (Accompagnez d'un anjou blanc, Domaine Mosse)


Bon, je dis de Pierre Hermé mais ça c'est juste pour me la péter parce que franchement, ces tuiles, c'est vraiment tout con. A peine sorties du four, hop, plantées dans une boule de glace, elles durcissent un peu et croustillent sous la dent, ça s'appelle pas Meringue D'automne mais tout de même, on ne dit pas non...

Tuiles nutella-noisettes

  • 150 g de noisettes
  • 100 g de beurre
  • 100 g de sucre glace
  • 35 g de farine
  • 2 oeufs
  • 200 g de nutella
  1. Préchauffez le four à 150°C (therm.3).
  2. Parsemez les noisettes sur la plaque du four. Enfournez et laissez-les cuire 15 minutes. Retirez-les du four. Mettez-les dans un linge. Frottez-les les unes contre les autres pour retirer les peaux. Concassez-les en petits morceaux.
  3. Mettez le beurre à fondre sur feu doux. Il doit être entre 30 et 35°C (maaaaaaiiiiis oui, fondu et paf dans le reste je dis). Tamisez le sucre glace et la farine au-dessus d'une jatte. Incorporez-y les oeufs, le nutella et le beurre fondu. Dès que la pâte est homogène, laissez-la reposer 1 heure au réfrigérateur.
  4. Préchauffez le four sur chaleur tournante à 150°C (therm.5).
  5. Recouvrez deux plaques à pâtisserie d'une feuille de papier sulfurisé "spécial cuisson". Façonnez avec une cuillère à café une première boule de pâte et posez-la sur une des plaques. Avec la paume de la main, aplatissez-la délicatement sur 6 ou 7 cm de diamètre en prenant soin qu'elle ait la même épaisseur sur toute la surface. Posez la paume de la main sur des feuilles de papier absorbant pour la sécher entre chaque manipulation. Placez une seconde boule de pâte à 3 ou 4 cm de la première étalée. Procédez de la même façon avec toute la pâte en disposant les tuiles en quinconce sur la plaque. Laissez reposer chaque plaque pendant 15 min au réfrigérateur.
  6. Enfournez les plaques au fur et à mesure et laissez cuire de 13 à 15 minutes. A la sortie du four, retirez les tuiles avec une spatule (bonne chance). Laissez-les refroidir sur une grille à pâtisserie.


T'as vu Tej? N-u-t-e-l-l-a ! C'est pas celle-ci que je te destine mais c'est un début ;)



Dîtes, vous vous souvenez de mon petit voyage aux USA de l'été dernier? Et bien comme à mon habitude, je promets des photos, des reportages, des recettes et je dis ça en toute bonne foi, pensant sérieusement poster ces messages dans les jours à venir. Puis, bien sûr, blogger s'en mêle et m'empêche de downloader certaines photos. Ou alors je suis trop fainéante pour trier et résumer tout ça. Mais le fait est que, d'une part, la nouvelle version de blogger m'a permis de noter une nette amélioration au niveau du téléchargement des photos et que, d'autre part, quand je dis une chose, en général, je le fais. Même si ça doit prendre des mois. Donc ne vous étonnez pas si, comme ça, d'un coup, je me mets à poster un message vous montrant les photos du feuilleté au matcha et du Ispahan que j'ai mangé en juin dernier lors de mon petit trip à Paris !

Sur ce, passons aux choses sérieuses.

J'ai donc eu la chance de passer près de trois semaines dans les Pocono's pennsylvaniens. Je suis sûre que vous voyez tous où c'est, les Pocono's ;) Enfin, le fait est que les Pocono's, et bien, c'est tout près de la région où demeure une bonne partie de la communauté Amish pennsylvanienne. Et comme mes hôtes étaient vraiment, mais vraiment, très gentils et toujours prêts à se plier au moindre désir de l'Européenne un peu fêlée que j'étais à leurs yeux, nous nous sommes bien vite retrouvés casés dans leur van, sillonnant les autoroutes américaines vers le prochain village Amish.

Et quelle journée les amis ! Riche en découvertes, ça je peux vous le dire ! Quel n'était pas mon enchantement lorsque je vis les premières petites filles, dans leurs robes aux couleurs simples et unies, tablier épinglé devant, coiffe sur la tête, et les premiers petits garçons avec leurs pantalons noirs à bretelles un peu trop courts et les reines du buggy en main.

Franchement, j'avais l'impression de me retrouver plongée dans The Witness ! Je m'attendais presque à voir Harrison Ford débarquer en courant de la grange d'à côté...

Bref, pour ceux qui n'ont pas vu The Witness, ou, bien plus triste, qui n'ont pas entendu parler du drame ayant eu lieu dans une école Amish il y a peu (plusieurs enfants y furent tués), les Amish appartiennent à une communauté religieuse vivant selon le précepte "tu ne te conformeras point à ce monde qui t'entoure".

Ils se refusent à la modernité, vivant sans électricité, sans voitures et autres types de technologies, labourant à la force des chevaux.


Bien-sûr, aujourd'hui il leur est devenu impossible d'échapper à la curiosité des touristes. Et même s'ils préfèreraient de loin avoir la paix, ils ont appris à accepter cette présence intrusive. Certains ont choisi de quitter la région, quand d'autres ont ouvert des petites échoppes et réalisent un certain profit grâce au tourisme.



Avec mes hôtes, nous nous sommes d'abord rendus dans un village supposé "typiquement Amish". Autant vous dire, on aurait pu pénétrer dans un petit Disney-Land... Il y avait le "vrai" Amish, à côté de son cheval, à côté duquel on pouvait se faire photographier. Puis le buffet "typiquement" amish (aurait tout aussi bien pu appartenir à McDonald), les couvres-lits et autres artefacts supposés artisanaux (dont certains étiquetés "made in china"). Vraiment triste.
Heureusement, nous sommes vite remontés en voiture et avons continué à nous enfoncer dans Lancaster County. Petit à petit, au fur et à mesure que le crottin s'amoncelait le long des routes, les champs de tabac, de patates et de maïs se sont mis à s'étendre à perte de vue. Autour ne subsistaient plus que des granges, ces immenses cuves dans lesquelles les familles stockent leur grain et d'innombrables métairies. Un paysage vraiment splendide et l'impression de s'enfoncer de plus en plus loin dans le temps.


(Clouée aux maisons ou sur les granges, la "barn star" est censée porter chance.
C'est la version actuelle des "hex signs" supposés chasser les mauvais esprits)

Nous nous sommes finalement arrêtés, histoire de se dégourdir un peu les jambes. Vous voyez cette charmante jeune femme sur la photo? Et bien j'ai pu longuement discuter avec elle et son père (heureux papa d'une dizaine de petits amish) et cela en Pennsylvania Dutch, sil vous plaît ! Je n'oublierai jamais ces instants passés à discuter en Allemand, au fin fond de la Pennsylvanie... Aussi blonds l'un que l'autre, avec d'incroyables yeux bleus, lègue de leurs ancêtres allemands, la conversation se déroula le plus naturellement du monde. Loin de vivre en reclus, ils semblaient au contraire parfaitement au courant des choses "du monde" et tout aussi curieux d'en apprendre sur l'Europe que moi sur leur vie. C'est à ce moment que j'ai compris que je n'avais pas en face de moi un personnage déguisé mais bien une personne comme une autre, simplement plus humble, peut-être plus sincère (voire plus fanatique) dans sa foi.


Mais la conversation s'est-elle limitée aux labours, taxations, scolarisation et autres systèmes? Eh non, hé hé. Il a bien fallu que la cuisine s'en mêle à un moment donné ;p Et je peux même vous dire que je me suis vue offrir une jolie part de Shoofly Pie maison ! Pas celle que vous voyez plus bas, une vraie de vraie ! Sucrée à attirer toutes les mouches du coin, c'était bien bon ;) Il faut dire que la cuisine amish reflète bien leur héritage germanique, ainsi que leur mode de vie actif et les ingrédients frais qu'ils utilisent. Elle est riche et rustique, mais surtout très réputée !



Et même si je ne me suis pas décidée à ramener une couette amish dans mes valises, je ne suis tout de même pas revenue les mains vides, puisque j'ai fait le plein de recettes ! Vous voyez comme je suis gentille? Voici la recette du pumpkin bread, en provenance directe de Lancaster County, gracieusement offerte par une jeune Amish aux yeux bleus. C'est pas génial ça? Surtout que ce cake est vraiment trop trop bon ! Moelleux, parfumé, délicieux !



Amish Pumpkin Bread
  • 1 2/3 cups de farine tamisée (environ 210 g)
  • 1/4 càc de baking powder (levure chimique)
  • 1 càc de bicarbonate de soude
  • 1/2 càc de sel
  • 1/2 càc de cannelle
  • 1/2 (j'en ai mis moins, mieux vaut n'en mettre qu'1/4) càc de noix de muscade
  • 1/3 cup de shortening * (environ 70g)
  • 1/2 càc de vanille
  • 2 oeufs
  • 1 cup de sucre (environ 200g)
  • 1 cup de purée de potiron (bah une tasse quoi, 220-250 g, 1/4L)
  • 1/3 cup d'eau (environ 80 g, j'en ai mis légèrement moins)
  • 1/2 cup de noix ou noix de pécan hachées (1dL)
Graissez un moule à cake. Tamisez ensemble la farine, la levure chimique, le bicarbonate de soude, le sel et les épices. Battez le shortening, le sucre et la vanille jusqu'à obtenir une consistance crémeuse avant d'y ajouter les oeufs, un à la fois, en battant bien après chaque addition. Incorporez le potiron. Ajoutez les ingrédients secs préalablement tamisés au mélange mouillé, en alternant avec l'eau et en fouettant juste assez pour que le mélange soit lisse et homogène. Incorporez les noix. Versez la préparation dans le moule et enfournez dans le four préchauffé à 180°C pour 45-55 minutes ou jusqu'à ce que le cake soit cuit. Laissez refroidir. Ce cake se garde pendant quelques jours dans un récipient hermétiquement fermé.

*Shortening : Les Américains emploient énormément le Crisco (y a moyen de trouver ça chez Carrefour, par exemple), sorte de graisses hydrogénées végétales. Certains types sont certifiés sans "trans fat", graisses trans assez néfastes pour la santé. Mais franchement, un bon vieux paquet de beurre mou fera sûrement l'affaire !


Mmmh... Les arômes qui se sont développés pendant la nuit ! Ca me donnerait presque envie de prendre mon seau et d'aller traire une vache...

Au fait, ma courge hybride, je crois bien c'est une courge spaghetti ! Donc, autant vous le dire tout de suite, vous admirez plus haut un Pumpkin Bread à la courge spaghetti :p Comme quoi...

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